Nos pensées pour Benoît Anger
Par Gilbert Azoulay | Le | Personnels et statuts
Benoît Anger, directeur en charge du corporate development et de la communication de Neoma business school, s’est éteint dimanche 20 septembre, des suites d’un cancer.
Passé par de nombreuses institutions et très présent sur les réseaux sociaux, il était une figure de l’enseignement supérieur, et une personnalité bien connue de la rédaction de Campus Matin, qui lui rend hommage sous la plume de Gilbert Azoulay, directeur général associé.
Nous avons appris le décès d’un très grand professionnel de l’enseignement supérieur, Benoît Anger. Son bon esprit, son humour et sa disponibilité sont connus de tous. De l’EM Normandie, à Skema ou à Neoma Business School où il était en charge du corporate development et de la communication, ce professionnel reconnu a animé avec fougue et talent les réseaux sociaux de notre communauté, toujours à bon escient et avec intelligence.
Nous sommes tristes, car il était jeune. Nous sommes sous le choc, car il y a encore peu de temps il participait à notre webinaire sur la communication interne et évoquait les projets avec son institution.
Outre l’injustice d’une disparition prématurée, nous perdons un esprit indispensable, toujours au top des personnalités les plus influentes dans le supérieur.
Prendre du recul face aux mutations
Nous avons la chance de l’avoir croisé souvent et c’est sans aucun doute sa capacité à prendre le recul et de la distance face aux grandes mutations que notre écosystème connaît qui faisait de lui un expert à suivre.
Son concept limpide de « métamorphose digitale » évoqué lors de notre dernier plateau TV et qui touche les humains comme les machines, a eu un large écho dans un monde qui s’est transformé brutalement.
Une réussite professionnelle méritée
Benoît incarnait à merveille le chemin accompli par les établissements d’enseignement supérieur sur des aspects développement, commerciaux et marketing, indispensables dans un contexte de forte concurrence internationale.
Fin connaisseur du monde académique, il avait contribué à attirer les talents du monde entier dans nos business schools.
En développant de nouvelles approches pour porter la « french touch », il a connu une réussite professionnelle méritée dans nos grandes écoles de commerce tout en contribuant à renforcer un peu plus la position de la France
Nous pensons à Sophie, son épouse, et à ses deux enfants à qui nous voulons dédier ce témoignage pour leur dire combien Benoît nous était cher.